Nouvelle : la cour du fantôme armure

C’était un bel après-midi d’été que tout a commencé dans le cloître extérieur du château. Il faisait un temps assez doux pour la saison et la preuve la plus flagrante, d’après les jeunes érudits, était le retour des fientes d’oiseaux sur les bancs du cloître. Cet endroit était parfait pour réfléchir, se reposer ou même simplement passer un peu de temps libre.



Je m’en allais d’ici, de là, à ma guise car j’étais enfin libre. J’étais enfin devenu un vrai conseiller de la cour du roi. J’avais approximativement deux heures à laisser partir à mon aise avant d’être présenté en personne à ce roi qui, semblait-il, était le plus riche des nobles à cette époque.



J’ai quitté le cloître extérieur à cause d’une bande de jeunes moines saouls. Ils n’étaient bons qu’à hurler et à tomber. Je suis donc parti vers le cloître intérieur. C’était tout de suite moins beau sans la lumière naturelle et le magnifique ciel au dessus de nos têtes, mais ici, c’était calme, reposant et sans courants d’air.



Le cloître intérieur était semblable en de nombreux points à celui se trouvait dehors. Il y avait juste des gravures mieux finies à l’intérieur et des bougies qui ont été privilégiées aux torches qui, cela semble normal, restent dehors. Le plafond était la plus grande des différence entre les deux cloîtres : Le plafond était en fait une scène de guerre qui n’a jamais été finie car le graveur aurait disparu mystérieusement avant la fin de son œuvre. Un second et un troisième auraient essayé s’ils n’avaient pas disparu à leur tour. Certaines personnes disent les avoir vu quitter notre belle ville avec un regard vide et un grand sourire. Ils disaient tous les trois qu’ils avaient une œuvre à terminer ailleurs. Et on ne les a jamais revus.



Pendant un instant, j’ai regardé le plafond inachevé. Il m’a semblé que le guerrier en armure gravé au plafond m’avait regardé. J’ai cligné des yeux, pensant que c’était la fatigue ou une quelconque émotion inattendue due à ma rencontre avec le roi, mais non. Le guerrier de deux mètres cinquante me regardait bel et bien. Je bougeais d’un côté à l’autre et son regard était toujours tourné vers moi. J’ai préféré penser à un coup de fatigue et suis parti vers le réfectoire.



Le réfectoire était plutôt une taverne qui se permettait d’abriter une cuisine. C’était rudimentaire, mais suffisant pour les personnes vivant dans l’enceinte du château. Je remarquai très vite que c’était une heure où cette taverne était comble. Je me fis donc une place auprès de certaines connaissances du temps où je suivais encore des cours. Il y avait « Le manchot » (qui en fait cachait juste ses mains blessées par de multiples coups) et à sa droite, « L’aveugle » qui manie l’épée les yeux fermés et se fie aux vibrations ainsi qu’aux sons. En face, il y avait une place toute désignée pour moi, entre Théophile, le forgeron royal, et 429, un homme sans nom.



Le manchot me fit un signe de la tête comme pour me saluer. L’aveugle avait les yeux bandés, mais il m’a reconnu directement. Je ne me suis pas gêné et lui ai demandé :

« Qu’as-tu fait ? Tu as décidé de devenir vraiment aveugle ou quoi ?

—Si tu savais à quel point tu es loin du compte, tu rirais moins, vieux fanfaron ! Me répondit-il dans un soupir désespéré.

— Alors, que t’est-il arrivé ? Demandai-je inquiet.[/color]

—Je ne sais pas, je m’étais assoupi dans le cloître intérieur après m’être entraîné avec une arme redoutable : le fléau. Puis à mon réveil, j’étais aveugle. D’après le docteur, mes yeux seraient tombés, mais je ne sais pas ce qu’il s’est passé.

—C’est une étrange histoire. Même la peste noire ne fait pas tomber les yeux des gens de cette manière. » Ai-je expliqué, perplexe.



Nous avons mangé et parlé. Mais l’histoire des yeux de l’aveugle en plus du regard du guerrier gravé ne me rassurait pas. Je savais pertinemment qu’associer ces deux choses était stupide et dénué de sens ou d’esprit scientifique, mais je ne pouvais pas m’en empêcher. Cette histoire m’est restée en tête jusqu’à ce que je rencontre le roi. Il voulait me souhaiter la bienvenue dans la cour royale et m’a déjà demandé de faire mes preuves : il voulait que j’aille chercher un graveur capable de terminer le cloître intérieur, qu’il me faisait confiance quant au choix du graveur.



(suite à venir)

Il se trouvait justement que 429 était un très bon tailleur de pierre et graveur. Il a apprit à faire des gravures et des sculptures là où il a grandi. Je l’ai donc retrouvé dans ses quartiers et lui ai exposé la situation. Il a tout de suite accepté en entendant combien le roi était prêt à donner pour un tel travail. Il m’a donné rendez-vous dans le cloître intérieur à la tombée de la nuit. C’était à peu près vers vingt-deux heures. J’étais sorti avec des vêtements simples et larges, pour mieux cacher une dague et une épée longue, au cas où il y aurait du grabuge.



Il était là, avec une échelle, des outils et L’aveugle. La position de L’aveugle m’a tout de suite semblée bizarre, il avait une jambe très raide et un bras à l’intérieur de son long manteau noir. J’ai compris qu’il avait apporté ses armes préférées avec lui : le cimeterre que Théophile à forgé pour lui il y a deux ans et surtout, une épée longue, très longue et assez affûtée pour trancher une tête, une cotte de maille et le casque en bronze avec. Il n’était pas à l’aise, 429 non plus, et moi, je sentais bien que quelque chose d’étrange, d’effrayant allait arriver. Nous avons donc commencé notre œuvre. 429 avait demandé à L’aveugle de tenir l’échelle quand il monterait dessus. Ils ont œuvré ainsi pendant de longues minutes, bougeant assez souvent. Le travail avançait très vite et aurait été fini très vite si 429 n’était pas descendu de l’échelle, le regard vide avec un sourire idiot collé sur la tête. Il nous a dit qu’il avait une œuvre à finir et voulut partir, mais L’aveugle sortit son cimeterre et bloqua le chemin à 429. Je sortis à mon tour une arme. Il me semblait plus malin de prendre l’épée, pour tenter de raisonner mon ami de rester. Il tenta de passer par un autre côté mais je l’en empêchai d’un vif pas dans cette direction. Il me regardait toujours avec ce regard stupide et ce sourire tout aussi imbécile. Il répéta qu’il avait une œuvre à achever et se pencha pour passer sous mon épée. Il passa son mon épée, me salua et partit. Je dis à L’aveugle que nous devrions le suivre, pour résoudre cette affaire.



Nous avons quitté le château et avancé derrière le sculpteur, discrètement, dans l’ombre. Il avançait très calmement, comme s’il s’agissait d’une simple promenade. Il semblait connaître le chemin par cœur, comme s’il passait par là tous les jours. Nous l’avons suivi sur une distance plus que grande.



Il s’est arrêté à un certain moment. 429 Regardait autours de lui, il nous a vu, il a hurlé de peur, il nous a crié de retourner au château, de ne pas rester là. Il fut frappé par une flèche. Son corps tomba sur le sol et un rire lointain, comme un écho me terrorisa. L’aveugle avait arraché ses bandages d’un revers de la main gauche et à ma grande surprise, il avait à nouveau des yeux, deux yeux entièrement noirs. Il courut vers le cadavre de notre ami mais à la place de ce qui aurait dût être un cadavre humain, il n’y avait qu’une énorme pierre taillée, elle représentait le guerrier en armure, comme sur le plafond du cloître intérieur.



L’aveugle se dépêcha de retourner vers moi et me tira par le bras vers le château. Je ne m’y opposais pas le moins du monde. Nous ne nous sommes pas arrêtés avant d’avoir rejoint le cloître intérieur. Nous avons tous deux regardé la gravure. Le guerrier en armure semblait sourire. Je ne pus m’empêcher de lancer ma dague vers la gravure. L’arme se planta directement dans la bouche qui semblait toujours sourire, qui voulait me dire que mes tentatives sont veines, que j’étais un pitoyable insecte.



Une goutte de sang, c’est tout ce qui est tombé du cloître intérieur, une simple goutte de sang qui tomba juste entre mes deux yeux. Je me sentis différent d’un seul coup, je n’avais pas changé, mais j’étais différent. L’aveugle le sentit directement. Nous nous quittâmes en promettant de garder ce secret, que seul le roi serait mit au courant.



La nuit passa très mal, j’ai fait d’horribles cauchemars, j’étais un grand chaman lors d’une bacchanale, que le sang coulait à flot et que la gravure me souriait, comme un chasseur sourit lorsque son fils ramène son premier faisan.



Le réveil fut brutal : J’ai été réveillé par la garde royale, une vingtaine de soldats, rien que ça, m’ont traîné jusqu’à la salle du trône. Le roi voulait savoir pourquoi le cloître intérieur n’était pas fini, pourquoi la gravure était dans le même état que la veille au matin. Je lui air donc expliqué presque toute l’histoire. Il me regardait comme si je lui disais la recette pour créer de l’or. Il acquiesçait de temps à autres. Une fois mon récit terminé, il m’examina et me fit remarquer que mes yeux étaient devenus rouges et que j’étais fort pâle. Je n’ai pas osé lui parler du guerrier gravé, mais j’étais sûr que c’était sa faute. Je me suis contenté de lui dire que j’étais peut-être tombé malade hier.



Une fois libéré, je me suis regardé dans une étendue d’eau, mais je n’y vis que le ciel, toujours plein d’étoiles. Je compris dès ce moment que j’étais devenu un instrument du diable, que je n’aurais bientôt plus d’humain que l’apparence. Je m’en retournai dans le cloître intérieur et regardai la gravure. Elle avait un regard si compatissant, si désolé de son geste, comme si elle n’avait pas voulu me maudire. J’ai compris à cet instant que ce n’était pas une malédiction mais bien un don. Un don du diable, mais un don bien plus intéressant que tout ce que le roi pouvait me donner. Je me rendis compte que la gravure, le démon, ou qui que cette paroi soit vraiment était véritablement un don pour moi.



Je compris pourquoi j’existait : pour rendre à ce guerrier son château. Il fallait pour ça tuer tout le monde dans cette enceinte. Je commençai donc par des petites gens, ainsi que les moines. Nul n’a rien remarqué car les cadavres disparaissaient tout seul, ou plutôt, ils étaient vraiment délicieux. Je gardais les os dans une cache, sous mes quartiers, au cas où le maître en aurait besoin.



Je dus rester à mes appartements pour la journée, la lumière du soleil m’aurait trop affaibli. J’ai donc dormi toute la journée.



Le soir venu, j’ai réussi à me débarrasser de la plupart des gens ainsi que des gardes. Les rares survivants ont fui. Une fois que j’eu été sûr qu’il ne restait plus que le roi, je retournai au cloître intérieur pour donner à mon maître quelque litres de sang. Il en avait réellement besoin.



Une fois couverte de sang, la gravure fondit et prit la forme d’un véritable guerrier en armure. Il ne faisait plus qu’un mètre quatre-vingt-cinq mais il restait imposant, charismatique. Il resta là un certain temps avant de me dire :

« Merci, jeune fidèle. Je savais que tu étais capable de me rendre mon royaume. Malheureusement, cette armure n’est pas solide. Il faut que tu me rapportes le cadavre du roi actuel pour que je puisse régner à nouveau. Va, je t’attends. »



Je partis donc vers les quartiers du roi. Il dormait, ce qui rendit son assassinat plus simple encore. Il aurait été si simple de lui ouvrir le ventre, de manger ses entrailles, de le voir dépérir alors que je me nourrirais, de le tuer d’une manière aussi artistique que salissante, mais j’ai préféré faire simple : J’ai arraché la carotide d’un simple coup de dents. J’ai ensuite traîné son corps jusqu’au cloître intérieur pour que l’âme du maître trouve un corps.



Le maître entra dans le corps et en prit possession. Je me suis agenouillé devant le maître et il me fit signe de me lever et de le suivre. Nous sommes allés à la salle du trône car il voulait me parler de l’avenir de ce royaume qui était à nouveau sien. Il dit très simplement :

« Tu es vraiment devenu un bon chien de garde. Tu as tué toute personne qui n’avait pas sa place ici. Même tes chers amis n’y ont pas échappé. Je suis fier de toi.

—Alors, vous voulez dire que vous vous êtes juste servi de moi ?

—Non. Je t’ai offert une puissance et une durée de vie quasiment infinie contre un petit sacrifice. C’était un échange standard, non ?

—Non, je ne suis pas d’accord. J’ai été manipulé, je ne vous laisserais pas prendre le pouvoir ainsi, vous méritez de disparaître définitivement ! »

Je me suis jeté sur lui, tentant de tuer un démon vieux de plus d’un siècle. Il esquiva et me propulsa dans le mur du fond. Heureusement, ma nouvelle forme supportait très bien les coups. Je repensais à mes amis que j’ai tués pour cette créature sans cœur, sans âme. Ca me rendait vraiment malade, fou de rage. Cette rage m’aida à porter le coup fatal à la créature : J’ai sorti une épée d’un montage décoratif et l’ai plantée dans le ventre de ce monstre. Il mourut presque instantanément. Il m’a juste dit : « Bon courage pour vivre avec ça sur le cœur ! »

Il mourut et j’entendis le même rire qu’à la mort de 429. J’ai mangé le cadavre pour être sûr que plus jamais ce démon ne revienne.

Le cadavre était mangé, avait disparu à jamais, mais je sentais que l’esprit hantait toujours les lieux. C’est pourquoi j’ai décidé de rester en haut de la tour de guet. Je ne voulais pas que ce château soit à nouveau témoin d’une telle horreur. J’ai scruté l’horizon pendant de nombreux jours sans rien voir. Mais quand je n’avais plus la force de bouger, après à peu près deux ans, je vis 429 et d’autres personnes se regrouper devant les portes. Ils déterrèrent une armure, l’armure du démon que je pensais avoir tué.



Devant un tel désespoir, j’ai préféré mourir et me suis jeté du haut de la tour. J’ai vu le ciel s’éloigner d’une centaine de mètres avant de ne plus rien sentir. J’espérais juste que mes amis me pardonneraient un jour.




[center]Félicitation, vous avez lu 8 pages de connerie profonde XD merci de poster vos impressions =]

Tout d'abord, je dirai que ce ne sont pas 8 pages de conneries profondes, dès l'instant où c'est ton œuvre, et que tu as passé du temps à l'écrire.
J'ai trouvé ton histoire intéressante, avec du suspens au début et un dénouement tragique à la fin.
Pour tout te dire, je n'aime pas beaucoup lire, mais j'écris beaucoup.
Et j'ai réussi à lire ton texte jusqu'au bout sans que ça m'ennuie.

Donc, de ce fait, je dirai simplement bravo.

Hum hum, bon par contre, comme tu veux l'avis d'autrui, je te donnerai le mien avec plus de détails.
J'espère simplement que tu ne te vexeras pas comme Aïko au sujet de ses dessins.

Donc voilà, à mon sens, le gros problème de ta nouvelle, ce n'est pas l'histoire. Ce qui est déjà bien, car l'histoire est le plus important.

Non, le problème vient de la façon dont tu agences ton récit.

Trop de fautes syntaxiques, trop de répétitions sous trop peu d'intervalles, mauvaise ponctuation, pas beaucoup de fautes d'orthographes quand même c'est bien, trop d'erreurs de conjugaison et grammaticales et un emploi mauvais des mots de liaison.
Tu mélanges à de trop nombreuses reprises les temps de conjugaison.
Tantôt tu écris au passé, tantôt au présent, et les modes employés ne sont pas les plus adéquats.

Mais bon, à ton âge je trouve que tu te débrouilles vraiment très bien, et je t'encourages à t'améliorer dans ce sens, ça ne t'en seras que plus profitable.
Toutes mes critiques négatives ne sont pas là pour te démotiver, ni pour t'inciter à abandonner ton œuvre, au contraire.
Mais à t'améliorer tout simplement.
Encore une fois, tu as 16 ans, et à cet âge là, c'est vraiment pas mal ce que tu as fait.
Dis toi que peu de jeunes de ton âge sont capable de le faire.
D'ailleurs, quelle note as-tu eu à ce devoir ?

En grandissant, et en continuant d'écrire, tu ne pourras que t'améliorer, jusqu'à atteindre l'apothéose de ton imagination.

Tout viendra en son temps, et je t'encourage dans cette voie.
Ne te fais pas de souci sur ce que j'ai dis.
A force de lire et d'écrire, de voir plusieurs styles littéraires, tu développeras le tien qui te sera propre et où tu te complairas.

La syntaxe ne s'apprend pas comme ça et même moi, qui écris beaucoup, ne la maîtrise pas entièrement, et de loin.

Sinon, je le redis, ton histoire est intéressante, j'ai beaucoup aimé, et malgré toutes ces petites erreurs d'écriture, cela ne m'a pas empêché de la lire et de l'apprécier.

Merci en tout cas !

Merci beaucoup. Je sais que les critiques sont là pour m'encourager et m'améliorer. Je garde en mémoire, encore merci.

Niveau cotation, elle a été sévère la prof (elle est écrivain à la base) et j'ai eu 28/40. Mais je sais qu'elle est dure pour nous aider à nous surpasser, donc j'avoue avoir été content de ces points.

Et bien 28 / 40 c'est pas trop mal.
Ça fait 14 /20 ce qui est mieux que la moyenne.

En tout cas, je suis content de voir que tu ne prends pas mal mes remarques et qu'au contraire tu en fasses quelque chose de positif.

Et bon courage pour la suite.

merci. Si je demande des avis et des remarques, ce n'est pas pour râler, au contraire !

Enfin, je suis surtout content que quelqu'un ait eu le courage de tout lire et en plus de donner un avis franc et motivant !

coucou.
Merci Tam, ton message m'évite d'écrire ces choses. J'approuve totalement le 1er message de Szass.
Par contre, je rajouterais que j'ai trouvé la fin très abrupte. Il est normal d'accélérer le rythme de narration au cours de l'histoire afin de donner plus de poids à l'action mais...
Tu démarres très lentement le récit pour nous faire rentrer dedans, c'est pas trop mal car ce n'est pas lourd. Tu accélères ensuite, ok c'est bien. Et toc, dénouement encore plus rapide alors que là, tu dois revenir à un rythme plus lent. Comme les enquêtes policières. On pose le proplème et les données, c'est long. On enquète, c'est plus ou moins rapide. On explique, c'est détaillé, et c'est ce qui manque ici. J'avoue que je ne "comprends" pas la fin, trop rapide avec des choses qui me surprennent (le coup du 429 qui revient sans expliquer pourquoi il s'était volatilisé laissant une pierre derrière lui).

Ce texte serait à retravailler et à développer mais il pourrait être à la base d'une bonne histoire.
C'est bien, continue d'écrire, tu ne pourras que progresser (si t'évites les pièges de la redondance et du ton pompeux ou lourdingue).

En tout cas, merci pour cette lecture.

Mais derien ^^ C'est plutôt à moi de te remercier d'avoir prit le temps de lire et de donner ton avis. Comme les autres conseils, je note pour la prochaine nouvelle (déjà écrite, mais à retravailler).


En fait, 429, il revient comme un fantôme du passé, comme un signe que le démon n'est pas vaincu définitivement. Les autres personnes qui l'accompagnent à la fin du récit, ce sont les autres graveurs. Je ne l'avais pas précisé parce que ça me paraissait logique... mais bon, ma logique peut parfois être très ... biscornue xD

Que dire de plus que ce qui a été dit... Pas grand chose, à part t'inviter à nous faire découvrir d'autres textes de ta main... ou peut etre si tu as la motivation, retravailler celui-ci pour le terminer véritablement... En tout cas, bravo !

(voilà ce que ça fait d'avoir des problème d'internet, j'arrive trop tard et tout est dit... )