Moi, je suis tombé accro à deux bombes. La première, c'est battlestar Galactica. Deux saisons en V.F., et la troisième toujours en V.O.
C'est le remake de la vieille série bien kitch de 1978(attendez avant de dire beurk), ou un convoi de vaisseaux spatiaux tentent de fuir les Cylon pour rejoindre la terre.
Depuis cette première mouture, de l'eau à coulé sous les ponts, et la série revient, avec de nouveaux acteurs pour les héros principaux, et des effets spéciaux qui ridiculisent ceux de Star Wars.
En fait, avecla prestation des acteurs et les scénarios, c'est le tiercé gagnant.
Ce qui fait tout drôle, c'est que l'épisode pilote est vendu à par. M6 l'a diffusé à la veille du jour de l'an 2006: un truc de dingue qui dure trois heures.
On voit donc les colonies humaines se faire applatir par les Cylons qui reviennent en force, le vaisseau Galactica, une vieille casserole déjà partiellement transformé en musé glorifiant la "victoire" contre les Cylons essuyer de sérieuses avaries, puis se porter au secours des derniers vaisseaux humains, et couvrir la fuite de ses derniers vers un ailleurs distant et inconnu (com' d'hab, hein, c'est très abrégé.)
Les dialogues sont des joyaux, les personnages et les décors sont très crédibles. Quie du bonheur.
Ensuite, il y Prison Break: une série à 100 à l'heure où il n'y a pas un seul couac. Les acteurs sont parfaits, les répliques tombent piles, et les scène d'actions sont hyper réalistes.
Moins bon parce que pénalisé par plusieurs épisodes assez mal ficelés, je citerai Alias. Sur le long terme, l'intrigue est impeccable de machiavelisme. Mais parfois, les doublages sont mauvais, et les acteurs se demandent comment ils vont jouer leurs textes. Ce qui esst dommages, car la série est vraiment pétrie d'atouts. J'avoue d'ailleurs qu'au delà du charme félin de Jennifer Gardner, la prestation tout en retenue de Victor Garber (le père de Sydney Bristow, qui un POURIIIIII!) est fabuleuse, tout comme celle de l'âme de la série, l'infect chef du SD6, puis patron A.P.O (mais j'ai bouffé son nom, à l'aide...). Une série qui doit tout à son méchant, c'est rare.