Mes textes

Je suis sure que ça vous manquait ééééénormément...Alors je reviens vous cassez les oreilles avec mes vieux trucs de grand mère! Et j'ai une autre mauvaises nouvelles...Maintenant j'écris plus de poème c'est plutôt chanson ou nouvelle!! Désolée!!!

Pour bien commencé, voila un truc assez récent. Je l'ai écrit en écoutant la chanson Chasing Cars de Snow Patrol, parce que je voyais bien le clip comme ça! [je suis un peu bizarre! ]

LIBERTE


Il avait dix-sept ans, bientôt dix-huit et sa vie avait perdu son sens au détour d’une journée de novembre. Une dispute, des cris, et la vie repris ce qu’elle avait mis si longtemps à lui offrir. Il marchait dans la rue, sous la pluie, à la recherche d’une nouvelle issue. Mais il ne la trouvait pas, peut-être que ce n’était pas son destin.

Elle avait quinze ans, une vie de plus en plus étrange et elle ne savait plus ou aller ni d’où elle venait. Perdue au plus profond d’elle-même, elle cherchait des réponses cette lumière qui brillait dans les yeux des autres adolescents. Mais elle ne la trouvait pas, peut-être que ce n’était pas son destin.


Un après-midi après une dure journée de cour, il vit sur sa table les calmants qu’il prenait depuis quelques temps. Le soleil couchant laissait passer ses rayons a travers la petite boite jaune. Il pris cela pour un signe, il crut que l’astre du jour lui montrait enfin sa voie. Il ouvrit la boîte…

Un matin de printemps, alors que les oiseaux chantaient sous le soleil levant, elle courut sur une route déserte, et s’approcha d’un pont qui dominait une rivière de quelques dizaines de mètres. Son cœur glacé sembla soudain trouvé un chemin ou s’engager, un moyen de trouver sa liberté. Elle passa la rambarde…


…Et la vida. Sa tête commença à tourner comme s’il était emporté dans un tourbillon d’effervescence. Il se retrouva dans l’eau, en train de nager parmi des poissons, des lumières de toutes les couleurs, il n’avait plus besoin de respirer. Il ferma les yeux un instant et les rouvrit, allonger dans un pré, entouré de l’odeur des fleurs et de l’herbe

…Et sauta. Ses larmes devinrent des plumes et, traversant les nuages qui la réchauffaient de leur souffle elle vola longtemps tel un oiseau qui sent que le vent monte, qu’il tourne et l’emmène sans se soucier de ce qui se passera l’instant d’après. Elle ferma les yeux un instant et les rouvrit, blottit contre un jeune homme aux habits portant une douce odeur marine.

bien, bien...

J'aime bien, c'est joli et bien écrit... A quand les autres ? ^^

**fan**
°°
*attend les autres :p **

**idem**

ouh c'est zentil!!!!

Mais faut pas aller trop vite, ça gacherait le plaisir et en plus j'en ai pas beaucoup!!

Ce que je voudrais écrire me transperce le ventre, comme une force insupportable qui a besoin de sortir sous peine de m'autodétruire.

Elle courait sous la pluie, les yeus remplis de gouttes, de larmes, de fureur. Elle hurlait "JE TE HAI" avec tout ce qu'elle avait de force mais sa voix cassée ne parvenait pas à survolé le son de l'orage.
Elle avait espéré l'amour et n'avait eu que l'indifférence, elle avait voulu fuir mais elle se retrouvait comme attachée par des sentiments incontrolâble, insupportable. Enfermée dans une cage et, enchaînée entre quatre murs de haine et d'amour elle ne recherchait plus que cette liberté d'esprit que l'on assure innefaçable.
Elle tomba a genoux dans la boue et s'abima la main sur un rocher. Le sang coula, rouge comme sa colère, froid comme son coeur.
"Pourquoi? pourquoi moi?"
Mais comme lui dire, a cette jeune fille d'une quinzaine d'année, que ce n'est pas elle, c'est la vie, celle qui se dit notre amie et nous détruit en nous faisant grandir. Rien ne sert de pleurer sous la pluie, d'epuiser ses forces dans un effort dérisoire, demain sera comme hier et comme le jour suivant, et comme le jour précédent.

Elle s'allongea sur le sol sale et ferma ses yeux abimés, son corps, tremblant de fatigue resista, il ne savait pas à quoi mais résista tout de même, puis elle ferma ses yeux. et écouta l'écho des cris qu'elle ne pouvait prononcer dans le vent, dans le tonnerre.

et ben ça c'est beau!

En ce qui me concerne, j'aime beaucoup, mais je trouve ceci un poil trop court peu être... Bravo en tout cas

c'est des textes vraiment magnifiques!!!

Sol majeur, la septième, pour toi j’aurai écrit une symphonie si tu n’avais pas brisé mes accords du son de tes silences. J’ai vu dans tes yeux les couleurs de mes rêves mais j’ai vu dans ton cœur le noir de la trêve. Et je n’ai pas pu résister quand ta musique a cessé, je n’ai pas pu continuer seule, alors que le monde autour de moi s’écroulait, que les notes dans mon esprit s’emmêlaient et que la peinture en moi se brouillait. On était comme deux innocents sur une route qui commençait déjà a brûlé, je savais que nous n’irions pas loin et je ne devinais pas notre destination mais je pensais que le morceau de chemin fait avec toi apaiserait ce que je ressentais quand tu t’approchais. J’avais raison, jusqu'à ce jour où tu m’as dit non. Les sentiers sur lesquels nous courrions ont disparu, et mon cœur a arrêté de jouer. Je n’ai plus l’inspiration quand je crois t’entendre parler avec un autre, quand je vois les étoiles dans tes yeux lorsque tu prononces un autre nom.
Mais quand la mélodie cesse, la partition reste, et je suis là à attendre, que tes bras oublié se referme une fois encore sur mon corps froid et sans couleur. Je n’ai même pas de larmes à t’offrir, ni de sanglots pour murer nos silences car sans toi il n’y a plus rien, plus de son ni de demi-ton.
Et je marche seule, sous le ciel gris, dans la rue transparente. Sur chaque bâtiment tu es là, tu souris et tu ris, tu nourris le souvenir douloureux de ces instants dont tu ne te souviens plus et que je revis a chaque instant. Mais même pour moi les couleurs s’efface, rien n’est éternel pas même les étoiles qui m’observent, et une dernière note, triste et sans fin, habite mon esprit et m’empêche de t’appeler. La note de ses baisers dont jamais je n’oublierais la saveur.
Je me demandais ce qu’on trouverait au bout du chemin, maintenant je sais qu’il n’y a rien. Un désert fané, une fleur vide, du métal brisé, du cristal dessoudé. Et mes cris silencieux, et ma musique dont les sons ne trouvent plus d’échos et qui s’enfuient dans l’infini, et mes couleurs ternis qui n’arrivent plus à s’accorder aux toiles entrelacées de mes sentiments incertains.



Merci! et oui j'aime pas les textes longs, j'arrive pas!

Puisque je vous aime beaucoup [...] je vais vous mettre les deux oeuvres d'arts que je viens de faire, mais c'est des photos cette fois!





When I heard The Music, I come back to my own world and I can forget all this stupid guys who are so close to me.